La Suisse, havre de « nouveaux » rites funéraires
Il importe de permettre à chaque habitant de ce pays de faire tout ce qui lui semble nécessaire pour que ‘son’ mort soit bien….Nous sommes citoyens d’une culture : par-delà nos idées individuelles, nous portons aussi un héritage culturel collectif, susceptible de nous rejoindre dans les moments de crise, comme le deuil»
Aujourd’hui, plus d’un tiers des gens ne veulent ni pasteur ni prêtre, mais un service laïc, qu’il soit prononcé par un ami ou un tiers, confirme Edmond Pittet. Une extrême minorité de personnes ne veulent pas de cérémonie du tout.